8 idées reçues en télémédecine vétérinaire

Vous avez des préjugés au sujet de la télémédecine ? C’est souvent le cas face à la nouveauté, et Vetapp vous comprend. On vous aide à dépasser huit idées reçues courantes pour que vous profitiez vous aussi de cette nouvelle façon de pratiquer au quotidien.

Certains vétérinaires ont des préjugés concernant la consultation en ligne.

IDÉE REÇUE N°1 - Un vétérinaire ne peut pas faire de consultation en ligne

Que le vétérinaire qui n’a jamais diagnostiqué une affection d’un seul coup d’œil sur un animal lève la main !

L’examen clinique direct reste un essentiel de la médecine vétérinaire mais d’autres paramètres rentrent en compte dans votre diagnostic final. Notamment l’interrogatoire du propriétaire et l’examen visuel de l’animal. De nombreuses situations médicales peuvent être déjà appréhendées voire traitées en totalité sans cet examen clinique direct mais avec un examen réalisé en téléconsultation.

IDÉE REÇUE N°2 - Un vétérinaire ne peut pas faire de diagnostic lors d'une consultation en ligne

Le conseil vétérinaire en ligne est déjà une forme de téléconsultation.

Environ 15% de vos consultations quotidiens ne nécessitent pas la présence de l’animal. On y trouve notamment les consultations de suivi sans examens complémentaires, les consultations de comportement et de nutrition, et toutes les consultations informelles que vous faites déjà sans les nommer « téléconsultation ».

Si vous n’arrivez pas à un diagnostic de certitude parce que vous avez besoin de la présence de l’animal pour conclure, il suffira de faire se déplacer le propriétaire et l’animal en expliquant que, dans cette situation, la présence du patient est requise. Vous n’aurez alors qu’à réaliser sur place ce qui est nécessaire pour explorer vos hypothèses diagnostiques formulées lors de la consultation en ligne. C’est ce que vous auriez fait en recevant par exemple un patient deux fois à 24h d’intervalle pour un trouble digestif sans altération de l’état général et que vous consultez à nouveau le lendemain si la situation se dégrade.

IDÉE REÇUE N°3 - La consultation vétérinaire en ligne nécessite une technologie complexe

Grâce (ou à cause) du confinement, vous avez certainement tous fait au moins un appel vidéo avec votre famille ou vos amis. La télémédecine, c’est aussi simple ! La consultation en ligne c'est un vétérinaire et un propriétaire qui se voient et s’entendent grâce à une connexion Internet. La téléexpertise c'est deux vétérinaires qui échangent des données de santé animale grâce à une application dédiée au suivi médical de l'animal.

Vetapp est une application simple et intuitive dans laquelle tout a été pensé pour vous faciliter la télémédecine. En ce moment, on vous offre 6 mois d'abonnement pour vous familiariser avec notre solution. N'hésitez plus, digitalisez-vous !

IDÉE REÇUE N°4 - Un vétérinaire n'a pas le temps de faire de la télémédecine

La télémédecine ne va pas vous prendre du temps, elle va vous en faire gagner !

En prime, vous serez rémunéré pour un acte que vous réalisez déjà quotidiennement sans qu’il soit monétisé : le conseil vétérinaire à distance.

Transformer les consultations informelles gratuites en téléconsultation payante, c’est gagner en rentabilité.

Transformer les 15% de consultations en ligne potentielles en téléconsultations réelles, c’est gagner en fluidité dans le planning, en encombrement de la salle d’attente, en occupation de la salle de consultation, en satisfaction client et donc, en rentabilité !

IDÉE REÇUE N°5 - Les propriétaires d'animaux ne vont pas payer pour un conseil vétérinaire en ligne

C’est le préjugé principal en télémédecine vétérinaire. Et pourtant l’essor de la pratique en humaine et les retours de la clientèle vétérinaire ayant déjà téléconsulté disent le contraire ! Vous pouvez donc nous croire quand on vous dit que la demande des propriétaires pour le conseil vétérinaire en ligne est forte.

68% des propriétaires d'animaux sont prêts à payer pour que le vétérinaire traitant de leur animal les conseille en ligne.

Ce vétérinaire traitant c'est vous, en qui le propriétaire a confiance parce que vous connaissez son animal et son historique médical. L'enquête ordinale conduite au bout d'un an d'expérimentation de la télémédecine avait comptabilisé 70% de propriétaires satisfaits par le service en ligne que leur vétérinaire leur a proposé pendant le premier confinement alors même que cette pratique n’avait pas encore été autorisée par décret.

IDÉE REÇUE N°6 - Si les propriétaires d'animaux ne sont pas entièrement satisfait par leur consultation en ligne, ça risque de porter préjudice au vétérinaire

C'est le cas pour n'importe quel acte vétérinaire ! Il est essentiel de bien connaître la définition et les limites des actes de télémédecine vétérinaire. La consultation en ligne n'est qu'un outil parmi tant d'autres pour que le vétérinaire puisse soigner les animaux et satisfaire sa clientèle.

Un cas ne se prête pas à la téléconsultation ? Vous devez refuser la consultation de l'animal en ligne.

Un animal que vous êtes en train de consulter en ligne semble avoir besoin d'être vu en clinique, signalez-le au propriétaire et écrivez-le dans notre rapport de téléconsultation. Sur notre plateforme, vous pouvez même cocher une case qui certifie que vous avez conseiller au propriétaire de vous amener son animal.

Un rendez-vous pour une consultation en ligne doit être fixé par le vétérinaire et non pas par le propriétaire ? Pas de problème ! Depuis votre profil, vous pouvez choisir de rendre disponible ou non la prise de rendez-vous en ligne. Vous pouvez aussi paramétrer des créneaux de disponibilité en fonction des jours et des heures qui vous arrangent. Un moment creux dans la semaine ? L'emploi du temps d'une nouvelle recrue à combler ? Une journée d'administratif pas trop remplie ? Pensez à déterminer quelques créneaux de consultation en ligne pour les rentabiliser !

Pour qu'on vous explique plus en détail, c'est par là >

IDÉE REÇUE N°7 - La télémédecine vétérinaire n'est plus encadrée par décret depuis la fin de l'expérimentation

Alors ça, soyons honnête, celle-là n'est pas une idée reçue. Depuis novembre 2021, la profession vétérinaire attend effectivement qu'un nouveau décret d'autorisation soit publié. Pourquoi ? Car le nouveau décret est conditionné par la révision du Suivi Sanitaire Permanent (SSP). Cette révision a récemment été achevée grâce aux échanges entre l'Ordre National, les organisations professionnelles vétérinaires et le gouvernement notamment. Des discussions essentielles sur le maillage vétérinaire dans les zones subissant une désertification médicale ont également été nécessaires avant la promulgation de ce nouveau décret, qui ne devrait plus tarder.

L'Ordre est dans son rôle quand il met en garde les vétérinaires qui pratiquent la télémédecine vétérinaire malgré ce vide juridique. Leur responsabilité est engagée sans ce filet légal mais l'exercice reste toléré dans les conditions du premier décret.

Utiliser une plateforme dédiée à la télémédecine vétérinaire est plus prudent que pratiquer la consultation en ligne informelle.

L'obligation de moyens auquel les vétérinaires sont soumis fait qu'il vaut mieux utiliser des moyens techniques dédiés à la télémédecine comme notre plateforme qui est un outil spécifique, plutôt qu'un canal informel avec tous les risques qu'il comporte. D'autant plus que se faire payer une consultation en ligne sur WhatsApp par exemple est impossible, alors que Vetapp dispose du paiement en ligne avec confirmation du rendez-vous par empreinte bancaire en amont.

IDÉE REÇUE N°8 - La télémédecine n'est pas un service rentable

La télémédecine est un nouveau service. Comme toute nouveauté, il n'y a pas de données antérieures permettant de se rassurer avant d'investir. Mais la télémédecine vétérinaire peut tout de même s'inspirer de la télémédecine humaine qui connaît maintenant un tel engouement qu'elle doit être freinée. En novembre 2021, alors que notre expérimentation terminait, c'est 64% des médecins généralistes qui pratiquaient couramment la télémédecine.
Pour lever ce frein de la rentabilité et démocratiser la télémédecine au sein de la profession vétérinaire, les services de Vetapp vous ont été offerts pendant plus d'un an. Depuis le 1er février, notre plateforme est payante mais sans abonnement les 6 premiers mois suivants votre inscription. On vous donne donc le temps de mettre en place votre nouveau service de télémédecine vétérinaire pour qu'il soit rentable tout de suite.

Vous avez envie de proposer la consultation en ligne à votre clientèle ?

Ou vous souhaitez centraliser, formaliser voire monétiser vos demandes d'avis grâce à notre outil exclusif de téléexpertise ?

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